La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1160)

La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite) -

Sa semence constituant souvent mon petit-déjeuner d'esclave... Un jour, tandis que je m'échinais à nettoyer le sol du salon, Maître Edouard, m'ordonna de cesser ma tâche et de me vêtir afin de sortir. J'obéis promptement et le suivis dans la rue. Conformément aux Règles établies, je me tenais à un pas en retrait du Noble, la tête baissée, me fixant sur Son Pas afin de Le suivre, sans accorder de regard à l'environnement... C'est ainsi qu'après un bon quart d’heure de marche en ville, nous atteignîmes l'entrée d'un immeuble cossu et nous rendîmes au 1er étage. Il y avait là une salle d'attente et quelques personnes accompagnées d'un animal chien, chat dans une cage portative... Je compris qu’on se trouvait chez un vétérinaire mais je n’en comprenais pas encore la raison. … Et quelle ne fut pas ma surprise de reconnaître, chienne Joëlle qui officiait ici (je ne sus que bien plus tard qu’elle était prêtée par le Maître de temps en temps pour servir d’autres Dominants faisant partie du cercle d’amis du Noble). Oui, elle officiait donc ici en tant que jeune assistante et nous y accueillit quand elle signifia à Maitre Edouard qu'elle prévenait le docteur... Après un assez long moment d'attente, Joëlle, toujours en blouse blanche, nous introduisit dans le cabinet du vétérinaire. Un homme d'âge mûr qui se leva et vint saluer chaleureusement Maître Edouard.

- Bonjour cher ami ! Comment vas-tu ?
- Fort bien... je t’amène celui-ci pour une visite de contrôle, répondit Le Maître.

Il me fallut quelques secondes pour comprendre que c'était de moi qu'il s'agissait. L'assistante, chienne Joëlle était toujours présente mais je n'osais lever les yeux pour mieux saisir la scène, seulement conscient de la présence d'un grand bureau et d'une table d'examen en inox de l'autre côté de la pièce.

- Eh bien voyons cela, dit le vétérinaire en s'approchant de moi
- Déshabilles toi, entièrement le chien, ordonna Maître Edouard

Ainsi je me retrouvais rapidement nu au milieu du cabinet, rougissant d'être ainsi devant cette petite assemblée; chienne Joëlle s'était saisie de mes vêtements et bien évidemment elle semblait nullement gênée de cette situation que je jugeais pourtant bien insolite.

Le vétérinaire saisit fermement mon bras et me mena jusqu'à la table d'examen, sur laquelle il me fit monter et me tenir à quatre pattes. Ayant enfilé des gants de latex, il commença à pratiquer un examen approfondi de mon corps, palpant mes testicules, saisissant avec professionnalisme mon sexe afin de le faire durcir en le branlant et le pressant et d’en observer l'érection... puis il entreprit d'examiner mon fondement, commençant par enfoncer un doigt dans mon anus, puis deux... D'un mot, il réclama un instrument à chienne Joëlle qui lui tendit je ne sais trop quoi... mais immédiatement, je sentis un objet de forme de tube, sans doute un speculum en acier froid s'enfoncer dans mon cul... j'éprouvais un étrange sentiment dans cette position humiliante, à quatre pattes sur une table en inox, un objet enfoncé dans mon cul devant Le Maitre, mais aussi cette assistante du moment, chienne Joëlle qui demeurait impassible, se contentant de baisser la tête, se tenant les jambes toujours écartées... Le vétérinaire retira le speculum, et changea ses gants, il donna un ordre que je ne compris pas bien à Joëlle et tandis qu'il examinait ma bouche, poussant ses doigts entre mes lèvres, vérifiant l'état de ma dentition, je sentis un autre objet enfoncé dans mon anus...

Plus gros, tout aussi froid que le précédent. Je compris que chienne Joëlle venait de fixer un plug dans mon cul... l'examen du vétérinaire se poursuivait, de plus en plus intime. Il passait ses mains gantées sur mon corps, saisissait mes couilles et ma queue, me branlait lentement sans toutefois me mener jusqu'à l'éjaculation... Il prononçait parfois un petit mot comme on en adresse à un animal que l'on veut rassurer, tout en jouant avec le plug profondément enfoncé dans mon cul. Cela dura assez longtemps et lorsqu'il eut fini cet "examen" approfondi, c'est lui-même qui me fit descendre de la table d'examen et je vis alors chienne Joëlle débarrassée de sa blouse professionnelle, en dessous très sexy avec un porte-jarretelle magnifique, un bustier lui mettant sa poitrine très en valeur, montrant se seins sublimes aux tétons annelés.
Elle était agenouillée devant le Maître installé dans un siège et Lui prodiguant une longue fellation. Maitre Edouard lui imposait le rythme lui tenant la tête fermement jusqu’à qu’Il jouisse dans sa bouche et elle s'appliqua encore un instant à bien nettoyer Son sexe. Puis, sans un mot, tête baissée, elle retourna passer sa blouse blanche et Le Maitre adressa un regard interrogateur à son ami.

- Alors, comment va-t-il, Mon chien ?

Le véto claqua ma croupe :

- Il est en parfaite santé. Tout à fait prêt à être utilisé de toutes les façons qu'il te plaira
- Bien... vraiment tout ? Même pour la saillie ? Voire la saillie à répétition ?
- Oui, sans aucuns soucis. Bien sur son anus est encore bien étroit, mais il est bien souple et élastique, il se formatera facilement. Il peut aussi être encagé sans aucun problème.
- Parfait, approuva Le Maitre

Puis, Il m'adressa un signe me signifiant de venir m'agenouiller à Ses Pieds, ce que naturellement je fis promptement. Le vétérinaire s'installait à son bureau et claqua des doigts. De suite, chienne Joëlle se baissa et se faufila sous le bureau du véto et je compris ce qu’elle fit promptement. Ce claquement des doigts lui ordonnait de venir le sucer …

- Je vais remplir son carnet de santé; il a un nom ?

Maître Edouard laissa échapper un rire

- Un nom !? Pour le moment ce serait lui accorder bien trop d'importance... mais un matricule, oui, tu n'as qu'à noter MDE3462CH ... ça suffira
- Parfait... souhaites tu le faire tatouer ? Tatouer à tes Armoiries bien entendu !
- Je ne sais pas encore... rien n'est encore assuré; je dois confirmer qu'il mérite un tel intérêt, un tel honneur …
- C'est sans problème; nous nous en occuperons le moment venu, répliqua sereinement le vétérinaire, eh bien voila, dit-il en tendant un petit carnet au Maitre. Le carnet de santé de ton chien, MDE3462CH est à jour
- Rhabilles toi, Mon chien, m'ordonna Maître Edouard.


Ils échangèrent encore quelques mots à mon sujet. Quand, sous le regard amusé de Monsieur le Marquis, d’un nouveau claquement de doigts sec du vétérinaire, chienne Joëlle sortit de dessous le bureau et se dénuda totalement puis vint se placer devant lui en position prosternée, le cul arrondi bien relevé, ses orifices bien exposés, ses mains bien en avant, la tête sur le côté au sol. Le véto, déjà bien excité par la fellation de chienne Joëlle sous le bureau, m’attrapa par les cheveux et m’ordonna de venir le sucer à mon tour. Il s’enfonça dans ma gorge sans ménagement et me força à le sucer, jusqu’à le faire re durcir à l’extrême. Quand il jugea son érection digne de ce nom, il me tira les cheveux pour m’éjecter sur le côté et enfila sans prévenir sa verge dressée dans la chatte exhibée de chienne Joëlle qui ne broncha pas d’un iota, se laissant prendre à grands coups de reins par le véto… Il lui donna de grands coups de boutoirs cadencés ponctués de ‘han’. On aurait cru une véritable saillie bestiale, animale, jusqu’à qu’il se vida les couilles dans le sexe béant de la chienne… Puis, il m’attrapa de nouveau les cheveux afin que je vienne le nettoyer de sa semence et des sécrétions de cyprine de chienne Joëlle. Ensuite, il réajusta son pantalon en s’adressant sur un ton sérieux au Maître :

- Ta chienne Joëlle est toujours aussi bonne ! Quant à ton chien MDE3462CH sa bouche est accueillante, je pense que tu pourras en faire quelque chose, un bon vide-couilles, il a du potentiel !

Quelques minutes plus tard, nous quittions l'immeuble dans lequel je venais de passer l'examen qui me désignait comme bon pour mon service de chien-esclave. J'avais conscience d'avoir franchi un pas de plus dans le destin qui m'avait mené à l'appartement de Maître Edouard. Manifestement, il ne s'agissait pas d'une situation unique mais d'un univers complet, d'une sorte de société parallèle où les codes étaient différents, où les castes s'établissaient clairement entre Les Dominants, occupant La position Supérieure et les soumis (es) Leur appartenant.
Je compris alors que j'avais encore tant de choses à apprendre ! …

(A suivre …)

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